Il est 8 h 40. J'annonce que les présentations commencent à 9 h, mais on continue de s'affairer. Je rappelle qu'on ne pourra pas commencer tant que les cinq équipes ne m'auront pas remis leur présentation avant cette heure par courriel.
Il est 8 h 50, toujours pas de courriel. Une première présentation me parvient enfin à 9 h 08, le groupe 5. Le groupe 2 me transfère ensuite son travail par clé USB. Suivent le groupe 4 à 9 h 17, le groupe 3 à 9 h 33 et le groupe 1, finalement, à 9 h 38. Vous comprenez que nous avons commencé les présentations, après un mot de ma part sur la philanthropie, vers 10 h. On roule alors au rythme d'une présentation aux trente minutes, avec une pause d'une quinzaine de minutes après la première présentation, parce que le thé était servi à 10 h 30.
Laissons tomber ces technicalités et revenons aux présentations. Les participants ont très bien travaillé. Le directeur est impressionné. Mamadou Doumbia Junior se joint aussi à nous pendant la première présentation. Vers 13 h, je passe dans le bureau du directeur pour signer les attestations temporaires, celles de l'Université Senghor n'étant pas encore arrivée d'Alexandrie. Puis je reçois les éloges, tout à tour, des ses adjoints avant de retourner en salle de cours pour remettre les attestations et conclure avec moult remerciements.
Je lave mes mains.net! |
On file à l'hôtel, puis on se rend dans différents endroits pour acheter quelques souvenirs, dont un chandail de l'équipe de foot (ou de soccer si vous préférez) des Éléphants de Côte d'Ivoire pour le filleul d'Andréanne, dont c'était l'anniversaire la semaine dernière. Je m'abstiens malheureusement de prendre un chandail identifié au monstre sacré Didier Drogba, parce que les lettres et les chiffres semblent vouloir décoller au premier lavage.
Le pauvre Ibrahim a l'air bien déprimé par les négos. |
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